31 mars 2009

En speed

Hier matin, j'étais en retard. Faut le faire pour se mettre en retard quand on se lève à 7h du mat' et qu'on doit partir à 11h30.
Mais ça, c'est un peu ma spécialité.

Le pire, quand on est en speed, genre qu'il reste cinq minutes avant l'heure fatidique du départ, pendant lesquelles il faut tout faire, boire une tasse de thé brûlant, se maquiller impec, penser à prendre tout ce dont on aura besoin et le faire rentrer dans un sac toujours désespérément petit, le pire dans tout ça, c'est se retrouver devant sa penderie en se demandant quoi mettre.

Et là - tchak tchak tchak, bruit des cintres qu'on passe en revue - dans un grand moment de désespoir - mmmrrrrraaaaaah - on réalise qu'on n'a rien à se mettre. Pas le rien à se mettre plaintif, et justificatif d'un prochain passage chez Zara - prétexte vieux comme les chaînes espagnoles - non, le rien à se mettre authentique, le rien à se mettre qu'on peut attraper en une seconde, enfiler en deux, accessoiriser naturellement avec les bonnes chaussures et la bonne ceinture en trois, et être good to go en moins de temps qu'il ne faut pour crier mmmrrraaaah intérieurement.

La tenue miracle, la tenue refuge, la tenue monnaie-or vers laquelle on se rabat toujours les jours de grosse panne d'inspiration - ou de gros coup de speed.

Pour tout vous avouer, je ne suis pas particulièrement fière de mes tenues de speed, qui sont toutes les deux lamentablement mainstream. Tellement banales que quand je vous les décrirai, vous me demanderez de rembourser vos invitations tellement mes conseils stylistiques ne servent à rien. Vous pensiez que j'allais vous donner des idées géniales pour vous habiller en deux secondes comme si vous sortiez d'un shooting de Vogue ? Ben non. Grosse déception.

Les matins en speed, j'ai deux tenues fétiches. Ma tenue casual, qui me sert à aller en cours, jean slim dans les bottes (je sais, je sais, ça ne se fait plus depuis 2002, mais à ce jour c'est la seule tenue qui résiste aux giboulées et au bas de pantalon trempé), Tshirt de couleur et petit pull marine, et si je me sens d'aplomb je jette par-dessus mon manteau rouge qui fait toujours illusion. Ma tenue plus habillée, quand je sors ou que je rejoins des amies avec déjà dix minutes de retard au compteur, c'est ma robe Maje noire achetée il y a quatre ans, et qui est tellement toujours fidèle au poste que je n'en ai jamais rachetée depuis, et bien sûr mes éternelles bottes giboulées-proof.

Ca me demande zéro seconde de réflexion, et environ trente secondes d'habillage à tout casser. Le seul inconvénient, c'est que c'est encore pas aujourd'hui que je me ferai photographier par le Sartorialist...


PS : tellement en speed que même mon dessin je l'ai fait dans le RER, avec les moyens du bord... Un stylo turquoise, un Stabilo rose et un Stabilo jaune (n'est-ce pas qu'elles sont crédibles mes Doc Martens ?)

30 mars 2009

Coup de coeur bleu électrique

Une photo qui n'a rien à voir avec la suite (quoique... des feuilles en coeur, un ciel bleu...) parce je n'ai pas pu prendre des photos correctes dans les cabines de Zara... Reporter de choc, tu parles...

Ce week-end, pour fêter ça, je suis allée faire du repérage dans les magasins. "Faire du repérage", c'est le terme que j'emploie quand je n'ai pas un sou à consacrer à des fringues mais que j'ai quand même envie de me donner l'illusion de renouveler mon placard à peu de frais.

En vrai, faire du repérage, c'est partir en se disant "on verra bien", prête à ne rien acheter si rien ne va, comme prête à craquer complètement sur des trucs qui ne servent à rien si l'envie se fait sentir. Comme par exemple ces escarpins bleu électrique, vus chez Zara et chez Punky-B, que j'ai essayés, désireuse de leur donner une chance malgré leur talon aiguille - non que j'aie un problème avec les talons, aiguille ou pas, mais avouons-le, pour courir dans le métro, on a trouvé plus pratique - et qui m'ont donné le vertige dès que je me suis levée pour marcher avec.

Comme aussi cette ravissante robe bleu pétant, du genre qui te transforme en Carrie Bradshaw parisienne rien que tu la mets avec des boots casual et un perfecto, mais du genre aussi qui t'accompagne sans problème à une soirée cocktail où d'ailleurs je ne vais jamais (ça existe vraiment, les soirées cocktail ? ou c'est juste pour les pubs Ferrero Rocher ?). Que chez Zara ils n'avaient qu'en S et pas en XS, et qu'en S on voyait la moitié de mon soutien-gorge par le trou des bras. Donc non, ce sera juste du repérage, encore une fois.

J'ai joué de malchance en matière de bleu électrique, ce week-end. Je suis complètement restée sur ma faim d'azur, je vous dis. Maudite soit sainte Zara et sa profusion de couleur dans toutes les tailles sauf la mienne.

La seule chose qui m'a vraiment mise de bonne humeur entre deux giboulées, c'est toute cette couleur, justement. Entre les magasins, les magazines, les blogs de mode et la rue, j'ai l'impression que les couleurs fortes reviennent en fanfare cette année, malgré la tentative de tendance du nude - well played, nude, mais une robe couleur chair quand votre propre chair a la couleur d'un navet resté trop longtemps sans soleil, ça restera, à jamais, définitivement pas flatteur - et moi, dis donc, la couleur, qu'est-ce que j'aime ça...

PS : un gros mer** à ma Kookaïhaïku pour le concours de cette semaine !

28 mars 2009

Mes petites ventes privées : focus sur les hauts !

J'ai réuni toute l'offre dans un petit post "spécial focus petits hauts", avec plus de photos des fringues qui vous plaisent !
Les prix n'incluent pas les frais d'envoi éventuels (je les envoie généralement par Colissimo simple à 5,50€, mais on peut s'arranger en fonction de vos préférences !).
Tous mes vêtements sont neufs ou en très bon état...



Top aérien écru en soie, noeud modulable sur le devant, Max&Co, T.1
Prix : 35€



Tshirt rouge en coton, rebrodé lettres et fleurs noires, John Galliano, T.1
Prix 30€
VENDU 


Tshirt manches longues JPG Jeans, T.2
Prix : 25€



Cardigan Lux (Urban Outfitters) en laine, à nouer sur le devant ou le côté, T.1-2
Prix : 30€




Pull noir laine et soie Max&Co, T.1
Prix :30€

27 mars 2009

Place des Vosges/Times Square

Bonjour à tous !

Aujourd'hui je ne vous parlerai pas de mode, je ne vous parlerai pas du contenu de mon placard, ni des chaussures overpriced sur lesquelles j'ai craqué et que je ne pourrai jamais acheter...

Aujourd'hui j'ai un énoooorme partiel dans une matière que j'en peux plus de la réviser, donc je vais faire court, et vous souhaiter à tous un très très bon week-end (et plein de posts sympa pour la semaine prochaine !)

Je vous laisse sur ces photos, prises (par moi, pour une fois) un après-midi Place des Vosges... Comme quoi, New York n'est jamais très loin...



26 mars 2009

Bonne conscience écolostylistique


Oui, bon. Avec un titre pareil, vous vous demandez ce que je vais bien pouvoir vous raconter. Alors voilà. Vous avez remarqué comment, depuis quelques temps, les marques milieu de gamme empaquettent nos achats dans de jolis petits sacs en tissu à leur effigie ? 
La mode du sac en tissu à message n'est pas toute récente, mais plus les années 2000 passent et plus je me dis qu'elle est bien représentative des habitudes de consommation et des préoccupations qui se sont répandues à une très large partie de la population, parfois à mille lieues des écolos et décroisseurs originels.
Il y a eu les sacs en tissu à message d'Urban Outfitters, les sacs biodégradables proposés par les supermarchés pour soit disant faire baisser notre consommation de sacs plastiques hyper polluants (dans ce cas-là, pourquoi, quand je veux acheter un poivron rouge, un poivron jaune et un poivron vert qui coûtent le même prix, je me fais engueuler parce que je n'ai pas utilisé TROIS sacs plastiques différents pour les emballer ?), et, summum du snobisme, le sac en tissu inspiré de sacs en papier indiens (juste trente fois plus cher).

Et maintenant les marques s'y mettent, en commençant par les marques milieu de gamme, qui savent pertinemment qu'elles visent le bon public : des nanas avec une propension impressionnante à consommer de la fringue, même sans le pouvoir d'achat qui va avec (j'avoue que, à ma grande honte, l'arbitrage entre m'acheter une fringue coup de coeur et manger des pâtes est vite fait, surtout que j'aime beaucoup les pâtes aussi) et une propension à utiliser des sacs, des sacs, des sacs, surtout s'ils sont grands, pratiques, confortables, lavables en machine et, tant qu'à faire, gratuits. 
C'est ainsi que je me transforme régulièrement en panneau publicitaire gratis, pour Colisée de Sacha quand je vais au sport, pour Kookaï quand je vais chez l'homme, et pour Iro quand je prévois mon déjeuner avant d'aller en cours.

Le pire, c'est que ces marques-là font bien les choses, histoire de nous rendre complètement accro à leurs petits trésors : mon dernier, le sac Iro, est tout doux, tout mignon - on en ferait presque son doudou. 

Le concept du sac en tissu à l'achat n'est pas une mauvaise idée, loin de là. Déjà, on a l'impression d'avoir un cadeau à l'achat, et même si on se doute que le truc a dû coûter trois fois rien à la marque en contrepartie d'une exposition énorme, ça rassure notre suspicion de consommatrice qui essaie de ne pas se faire (trop) avoir. Ensuite, si l'on commence à adopter un comportement vraiment responsable, même à la marge (vu que c'est pas comme si la plupart d'entre nous allions tous les jours claquer nos sous dans ces boutiques), ça peut faire des économies de papier, d'encre, de plastique substantielles... à condition de penser à prendre le sac en tissu la prochaine fois qu'on va chez eux. Et là, pour le coup, je n'ai jamais entendu ce discours lors d'un achat. Ce qui serait pourtant beaucoup plus cohérent avec l'esprit initial de l'initiative... 

Reste plus qu'à mettre H&M dans le coup... Parce que là, en matière de sacs en plastique et d'achats compulsifs, c'est autre chose. A nous, donc, de prévoir et d'utiliser au mieux tous les sacs en tissu que l'on collecte...

25 mars 2009

Une fille comme elle


De gauche à droite : Anne-Valérie Hash, Garance Doré, Dominique Cuvillier, Fabienne Falluel, Guillaume Erner, au Grand Palais hier soir

Comme la photo l'indique, j'ai assisté hier soir à la conférence sur le thème "La mode : culte de l'éphémère ou recherche de l'intemporel ?" au Grand Palais. Je revenais d'une longue, longue journée de cours et, avec Kookaïhaïku, on a failli ne même pas pouvoir entrer tant il y avait de monde. On a réussi à s'incruster tant bien que mal et à s'installer dans les grands fauteuils moelleux au fond de la salle, excitées comme des puces par la cohue et toutes contentes d'entendre débattre de ce qu'est la mode, l'air du temps et l'intemporel, des sujets qui nous passionnent toutes les deux, chacune à notre manière. Comme on pouvait s'y attendre, le débat n'a pas résolu la question - si tant est qu'il puisse y avoir une "solution", ce que je ne pense vraiment pas, surtout depuis que la mode est devenue, selon moi, une grande et belle aire de jeux où l'on s'amuse à se composer un ou des styles, avec les limites et les libertés qu'elle offre.

J'étais venue surtout pour entendre Garance Doré, qu'on ne présente plus, après le début d'année en fanfare qu'elle a fait, et dont je suis le blog avec une assiduité jamais démentie depuis l'année dernière. 

Garance, c'est celle qui m'a donné envie de reprendre la plume, de reprendre mes crayons, d'exprimer plus ouvertement ce petit pan de ma vie qu'est ma passion pour la mode, les fringues, le style. C'est elle qui m'a redonné "foi" en la mode alors que je traversais une période de stage assez désenchantante. C'est celle qui m'a fait complètement assumer le côté léger, futile que j'associais à la mode, tout en prouvant de manière limpide l'importance qu'elle a, comme expression d'une époque, d'un moment, d'une personnalité. Jusqu'au jour où je suis tombée sous le charme de son discours pertinent et optimiste, je n'entendais autour de moi que deux versions : la mode est une vaste futilité qu'il faut vivre comme telle OU la mode est juste une question de "classe sociale" et de porte-monnaie. Je n'ai jamais ressenti la mode comme quelque chose de tout noir ou tout blanc (vive la couleur ! ;)) ; j'ai pu me forger cette opinion au cours de mes expériences, de mes tops et mes flops stylistiques, ou même en suivant une série comme Sex and the City - qui a littéralement changé ma vie lorsque je vivais à New York. 
Le fait de trouver un écho à cet état d'esprit, formulé sans aucune inhibition ni aucun préjugé chez Garance, m'a rassuré et m'a donné envie de partager, à ma petite échelle, mes idées, mes réflexions, mes envies de mode. Aujourd'hui, sur mon blog, je cherche, je tâtonne, je tente des choses et j'essaie de trouver la bonne formule, le ton juste : je pense que vous vous en rendez sûrement compte. C'est un peu comme parvenir, après des années de questionnement, à assumer son style, sa manière de s'approprier la mode. Là, pour le moment, mon blog tout jeune se cherche encore... Vos visites et vos commentaires m'encouragent à être créative et à me poser les bonnes et les mauvaises questions - n'hésitez pas, d'ailleurs, à me faire part de vos commentaires, de vos impressions, de vos envies aussi ! 

Et puis, pour finir, je voudrais juste dire un petit mot de Garance
On a toujours une idée toute prête de la personne qu'on va découvrir, quand on rencontre une célébrité - oui, Garance, même si tu trouveras que ce terme est exagéré, tu es une vraie star dans le monde de la blogo ! Eh bien, les filles, rassurez-vous : la Garance que j'ai pu voir parler hier soir est à l'image de celle qui écrit tous les matins sur son blog : une fille adorable, souriante, ouverte, avec ce regard incroyablement humble et bienveillant sur la mode et les gens. Son intelligence et sa douceur se lisent entre les lignes de ses posts - et ils transparaissent aussi dans son sourire et dans son discours, ceux de la fille heureuse de ce qui lui arrive, heureuse d'être là.
Une fille comme elle, tout simplement.

23 mars 2009

(Mes) Premières rides


(Ma mère) - Mais non, t'en as pas...
(Le miroir de la salle de bain) - Oh, le vilain sillon nasogénien.
(Mon mec) - T'es belle comme tu es.
(Ma copine Ju) - Moi, j'ai la peau sèche, du coup ça viendra plus vite, regarde (fronçant les sourcils) ça commence déjà, là.
(Le miroir de l'ascenseur) - T'as de la chance d'avoir la peau grasse, ça arrivera moins vite.
(La vendeuse du Palais des Thés) - Au revoir, madame !
(Ma soeur) - ENCORE une crème pour les vieilles ? Ptain t'as que ça à faire !?
(Moi) - Ca y est, j'ai des RIDES.

Il faut dire que je les ai bien cherchées. Dans les deux sens du terme : d'une, j'ai un visage naturellement mobile avec tous les plis, les fronces, les creux que ça implique ; de deux, je me scrute la figure depuis l'âge de vingt ans pour traquer les lignes qui décideraient d'y élire définitivement domicile.

Pendant longtemps, j'ai observé les allées et venues de ces ridules avec un mélange d'effroi, d'angoisse profonde et de détermination à les mater. Je les ai massées, je les ai tartinées, je les ai sérumées, tout ça pour pas grand chose : une bonne cure de sommeil et elles disparaissaient.

Jusqu'au jour où, au réveil, les ridules étaient toujours là. Et aucune dose de Crème Nirvanesque ne parvint à les déloger. La mort dans l'âme, je lisais désormais les articles "chirurgie esthétique" de Elle en me disant que ce serait bientôt mon tour. Vous savez, ces pages glaçantes où des nanas de quinze ans posent en Givenchy dans des cliniques esthétiques suisses, et où la journaliste tente de nous convaincre que le botox, aujourd'hui, c'est comme d'aller se faire épiler le maillot, et que si tu ne le fais pas, faudra pas s'étonner quand ton mari te quittera et que ton patron te virera parce que t'auras des rides.

Jusqu'au jour où je les ai oubliées. Mes ridules, je n'y ai plus pensé. Je vérifiais de temps en temps leur progression sur ma peau, sans constater d'envahissement massif ni de rift irrémédiable. A mon insu, elles se sont installées sur mon visage et dans ma vie, sans bouleversement apparent.

Mes premières rides, je ne dirais pas que je les aime, qu'elles racontent ma vie, qu'elles font partie de moi. Tout cela est sans doute vrai, mais je ne les assume pas encore à ce point. Un peu comme toutes les marques du temps sur notre corps, qu'on essaie tant de nous faire détester - cellulite, peau moins ferme, cheveux moins abondants - mes premières rides incarnent à la fois la jeune fille de vingt ans que je ne serai plus, et la femme que, chaque jour qui passe, je suis de plus en plus ravie de devenir.

Et peut-être qu'un jour, tout simplement, je me réveillerai en les aimant. 

22 mars 2009

Mes ventes privées : focus sur les pantalons !


Après les robes, je vous propose de découvrir de plus près mes ventes privées "focus pantalons"... Je reste à votre dispo pour toute question ! Enjoy the show...




Jean Maje brut, évasé en bas, taille haute, T.36
Prix 40€



Pantalon large coupe "boyfriend" (encore plus beau avec des talons...) Max&Co, T.38
Prix 35€

Pantalon large Kookaï, écru à fines rayures, T.36
Prix 20€


Jean slim taille basse brut, Diesel, T. 26, L. 32
Prix 50€

21 mars 2009

Les ventes privées de mes amies bloggeuses sont sur mes ventes privées !

Bonjour à toutes (je suppose naturellement que si vous lisez ce post, vous êtes une fille, qui s'intéresse aux fringues qui plus est)
Je vous inonde de ventes privées ces derniers jours, mais je me dis que l'arrivée des beaux jours s 'y prête et j'espère que vous trouverez votre bonheur dans ce que je vous propose. Mais là, c'est pas moi (attendez voir comment je me dédouane...), c'est ma cops de blog Strange Gabrielle qui propose ses ventes privées via mon blog. Si l'un des articles suivants vous intéresse, n'hésitez pas à la contacter sur : gabrielle_a@live.fr !



Top Cop Copine, T.38
"un top en 2 parties, avec les manches qui se détachent. Elles tiennent à la partie principale par deux médaillons devant et derrière, auxquels on attache la ficelle qui retient les 2 manches entre elles. Porté deux ou trois fois également, et toujours en très bon état..."
Prix 15€




Sarouel Maje, porté une fois, T.38
Prix 45€

Mes ventes privées : focus sur les robes !

Voici venu le printemps et plusieurs d'entre vous se sont intéressées de près aux quelques robes vues dans mes posts précédents. J'ai réuni toute l'offre dans un petit post "spécial focus robes", avec plus de photos des fringues qui vous plaisent !
Les prix n'incluent pas les frais d'envoi éventuels (je les envoie par Colissimo simple à 5,50€).
Tous mes vêtements sont neufs ou en très bon état...


Robe Sandro violette, 100% coton, T.2
Prix 50€
VENDU


Robe Iro vert bouteille, 100% soie, T.2
Prix 55





Mini-robe Pinko, 100% coton, clips amovibles, T.1
Prix 50€




Robe MaxStudio.com (une chouette marque new-yorkaise), coton et soie, T.38
Prix 40


Robe-tunique grise Sandro, 100% laine mérinos, manches courtes et col roulé, T.1
(à porter en robe, avec un legging ou sur un pantalon)
Prix 25€


Robe tulipe beige Les Petites... 100% laine fine, T.38
VENDU

20 mars 2009

Voici venu le temps des cafés en terrasse

Il y a quelques jours, je suis allée faire ce que je fais chaque année pour marquer l'arrivée du printemps (non, pas m'acheter des shoes de printemps chez Zara, pas ça) : je suis allée prendre un café en terrasse. 
Le café en terrasse m'appelle dès les premiers rayons tièdes de soleil printanier et je ne puis jamais lui résister. J'y vais, même quand je dois y aller accompagnée de mes classeurs de cours (pour ceux qui ont un peu suivi, eh oui, je suis encore étudiante... ce qui m'autorise à aller me bronzer pendant les jours ouvrés, mais sans complètement en profiter, l'épée de Damoclès des examens me rappelant vite fait que je suis censée é-tu-dier).
D'autant plus que je venais de céder à un autre acte printanier quelques jours avant : l'achat de lunettes de soleil chez H&M. Enormes, rondes, complètement impossible de passer incognito avec. Mon addiction aux lunettes de soleil frise le ridicule tellement j'en ai, de lunettes. Elle évite néanmoins le ridicule puisque toutes mes copines, même celles qui me regardent avec un air réprobateur qui me dit "Ma pauvre, tu es tellement superficielle, encore une nouvelle paire de lunettes de soleil de mouche ?" finissent par me demander de les essayer.



Bref, le café en terrasse est un pur bonheur. Il réunit en un seul instant toutes les premières fois qui viennent avec le printemps. Où que vous soyez, en France ou ailleurs, je vous souhaite au moins un beau jour printanier oisif bientôt pour aller savourer l'expérience. Je vous ai même mis une photo de l'emballage du chocolat complètement "gros touriste à Paris" pour vous convaincre du geste de détente absolue qu'est cet acte. C'est un moment qu'on ne retrouvera plus à mesure que l'été s'approchera, que les jours de beau temps se succéderont et que la chaleur ne permettra plus de passer l'après-midi entier à regarder passer les gens d'un air nonchalant. C'est le premier moment de l'année où l'on se dit, "Tiens, si je sortais mes habits légers du placard" et qu'on peut les mettre sans qu'on nous regarde bizarrement dans la rue.
Le week-end arrive, les amis. Time for terrasses and coffee...

Photos prises à la terrasse d'un café parisien par Kookaïhaïku et moi.



19 mars 2009

Mes petites ventes privées : profitez du printemps !

Voici quelques autres pièces que je vends aussi... Tous mes vêtements sont neufs ou pratiquement neufs et en très bon état. N'hésitez pas à me contacter si vous avez des questions...
Vous pouvez me faire une offre sur celle(s) qui vous intéresse(nt) ! 



Robe en dentelle et soie Max Studio.com (une de mes marques new yorkaises préférées!) T. 38
Prix 40€


Jupe grise en lin Agnès b. T.38
Prix 30€ 

Jean slim brut Diesel T. 26 L.32
Prix 50

Top aérien écru en soie, noeud modulable sur le devant, Max&Co
Prix 35€

Pantalon large écru à fines rayures grises Kookaï, T.36
Prix 20€
 
Jupe longue rouge Pimkie (eh oui, parfois ya des choses sympa chez Pimkie...), T.2
Prix 10€

Robe violette Sandro (ma pièce vente privée préférée...) en coton, manches 3/4, T. 2
Prix 50€